28 Mai 2025 | Interview

Au rythme des pacemakers DPD

De retour sur la piste avec Ian

La course à pied vide la tête, crée du lien entre les gens et aide à repousser ses propres limites. C’est précisément ce que nous cherchons à montrer à travers la campagne des pacemakers DPD. Car chez DPD Suisse, il n’y a pas que les colis qui bougent; notre personnel aussi.

Aujourd’hui, nous vous présentons Ian, formateur, développeur et passionné de course à pied chez DPD Suisse. Dans notre interview, il explique ce qui le motive, comment la course à pied l’inspire aussi dans son travail et ce qui le lie à la Suisse.

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Ian, depuis combien de temps travailles-tu chez DPD et qu’est-ce qui t’a amené ici?

«Je travaille chez DPD depuis mars 2020. J’ai commencé en pleine période de coronavirus, ce qui m’a donné envie à l’époque de rejoindre une grande entreprise de logistique. Je suis passé chez DPD Suisse en 2022. C’était complètement voulu, car j’avais vécu en Suisse de 2013 à 2020 et je voulais absolument y retourner.»

Quelle a été ton évolution chez DPD?

«J’ai énormément appris, non seulement sur le plan professionnel, mais aussi sur le plan personnel. Chez DPD Suisse, il y a plein de gens de cultures différentes, ça a élargi mon horizon. J’ai appris à développer mon esprit d’équipe. Et sur le plan pratique, j’ai commencé à apprendre l’allemand et je me suis même mis au français.

 

 

Pour toi, qu’est-ce que cela veut dire de prendre ses responsabilités en tant que pacemaker DPD?

«Pour moi, c’est une possibilité de dépasser mes limites tout en envoyant un message aux autres: tout le monde peut y arriver, il suffit de s’y mettre. J’ai envie de montrer que petit à petit, on peut faire de grandes choses, aussi bien en course à pied que dans la vie.

Y a-t-il des parallèles entre ton métier et ton rôle de pacemaker DPD?

«Complètement. Chez DPD, je travaille au service Training & Development, et la course à pied consiste précisément à évoluer sans cesse. Qu’il s’agisse d’intégrer de nouveaux membres du personnel ou d’optimiser les processus existants, tout est une question d’entraînement, comme quand on se prépare à une course.»

Qu’est-ce qui t’aide mentalement quand une course est difficile?

«Je me concentre sur ma respiration et je regarde un mètre devant moi, foulée après foulée. Et quand ça devient dur physiquement, j’essaie de tenir encore 5 minutes de plus. Si ça empire encore, je sais qu’il est temps de faire une pause.»

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Comment te prépares-tu avant une compétition?

«Je ne suis pas fan des programmes d’entraînement super rigides. Pour moi, l’important, c’est de se faire plaisir en courant. Je garde un bon niveau de base toute l’année, et avant une course, j’augmente mes distances, mais sans me mettre trop la pression. Pour moi, courir, c’est la liberté.»

Quelle a été ta course la plus dure jusqu’à présent?

«Mon premier semi-marathon, entre Wil et Frauenfeld. On m’avait prévenu que ce serait dur, et en effet, il n’y avait que des collines! Mais j’ai repensé aux moments difficiles de ma vie, et d’un seul coup, ça ne m’a plus semblé si dur que ça.»

Ton conseil pour ceux qui commencent la course à pied?

«Il suffit de se lancer, même si au début, on va à peine plus vite qu’en marchant. Oubliez les applis, YouTube et les programmes. Souvent, ils ne font qu’ajouter des complications. Au bout de quelques semaines, on se rend compte qu’on y prend plaisir et que ça fait du bien au corps et à la tête.»

Merci pour ces réponses inspirantes, Ian, et continue à prendre du plaisir en courant, en apprenant et en évoluant!

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